Résumé
Dans un monde où les connaissances évoluent d'une manière de plus en
plus alerte, le transfert des mots d’une langue à une autre, en forme de l’emprunt, devient essentiel pour enrichir le vocabulaire des langues de travail.
L’emprunt c’est l’acte de maintenir certains mots
du texte de départ dans le texte d’arrivée, soit par manque d’équivalence soit
style et goût du traducteur. Puisque
le but de la traduction est le transfert d’une
réalité idéologique, médical, religieux ou politique, d’une langue à
une autre pour le bien de l’humanité, le transfert des lexiques devint aussi une évidence. Notre object est ici
de montrer que l’emprunt est l’un des procédés de la traduction plutôt qu’un
handicap lexical ou de vocabulaire. Cet article se base sur la
théorie de la pertinence qui insiste sur le principe dans l’économie du langage
selon lequel le traducteur ne traduit que ce qui est pertinent. Donc nous
préconisons la procédure de ne traduire et de n’employer que ce qui est
pertinent dans la pratique de la traduction.
Mots clés.: Traduction, emprunt, langue, transfert, procédés
DOI: www.doi.org/10.36349/tjllc.2024.v03i01.045
author/Iwala Gold
journal/Tasambo JLLC | 15 February 2024 | Article 45